Ce colloque dont l’objectif est de poursuivre et de pérenniser les échanges autour de la polymérisation sous rayonnement sera axé sur les thèmes suivants :
- Polymérisation sous rayonnement UV-Visible et ionisant
- Photoamorceurs et mécanismes
- Procédés et nouvelles technologies
- Matériaux et relations structure/propriétés.
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La photopolymérisation, quel que soit la source d’activation employée (UV, rayonnement γ, électrons accélérés…) va permettre l’initiation de la polymérisation de monomères, en présence le cas d’échéant d’un activateur. Une fois la polymérisation de ces derniers réalisées, cela conduit à l’obtention de chaines macromoléculaires communément appelées polymères, ces derniers se retrouvent sous le terme générique de « plastique ».
Ces polymères se retrouvent dans une large variété d’applications qui va de la médecine à l’optoélectronique. Un exemple concret d’application de l’utilisation de la photopolymérisation se trouve dans le domaine dentaire en tant que pansement dentaire lors des soins en cas de carie. Nous pouvons retrouver également cette technique dans le domaine des peintures et des vernis pour mettre en place un revêtement protecteur vis-à-vis des agressions extérieures. Cette technique permet également le développement des fibres optiques à façon pour améliorer leurs performances. L’impression 3D tend à se démocratiser ces dernières années et si cette technique, déjà développée pour les thermoplastiques, est entrée dans le quotidien de bon nombre d’entre nous, c’est récemment que de nouvelles technologies permettent la fabrication additive de thermodurcissables grâce la photopolymérisation.